
Source : jerecuperemonex.com
Une œillade, un regard enflammé et une impression de déjà-vu.
Un bruissement d’ailes, le temps qui est suspendu et l’on arrête de respirer.
Une impression de se connaitre depuis une éternité, une certitude temporaire et, une envie de mieux connaitre.
Les cœurs qui battent à l’unisson, puis le désir qui se veut évanescent.
La peur de paraître niaise et timide, l’on se veut déluré.
Une approche naturelle, un effleurement visuel et enfin un contact physique.
Le contact établi, les plans sur la comète et des rêves, promesses d’un avenir meilleur.
Des heures à chercher, se trouver et savoir ce qui nous mettrait en valeur, puis The rencontre.
D’officieuse, elle devient officielle et enfin, la découverte de l’un et de l’autre.
L’on se découvre, l’on ne voit que ce que l’on souhaite vraiment et enfin, les certitudes, vérités désuètes de l’esprit.
La rencontre des cœurs, l’on se convint qu’avoir les même aspirations, c’est regarder dans la même direction.
L’on est certain de pouvoir balayer tous les obstacles d’un revers de la main, de pouvoir donner son souffle pour l’être aimé.

Source : consciencedevie.over-blog.com
Le baiser, de léger de vient fougueux puis s’intensifient les sentiments naissants et enfin, le feu follet devient un brasier.
Les aléas et les vicissitudes, intemporelles girouettes de notre existence s’invitent et font naître le doute.
Les différends, les engueulades, des multitudes séparations et interminables réconciliations.
Comment rester ensemble lorsque ce qui nous sépare est plus fort que ce qui nous unit ?
L’on a de la peine à faire face, à prendre ses responsabilités afin de mieux avancer.
Non, l’on ne se sépare pas souvent parce que l’on ne s’aime plus, mais parce que l’on ne sait plus s’aimer.
L’on a beau regarder dans la même direction tout en sachant que l’amour se trouve dans les yeux de celui qui regarde,
L’espoir et l’engouement ont fait place à la tristesse et la monotonie.
Dame confiance et dame espérance s’en sont allées au loin nous vidant de toute énergie.
Ainsi va le cycle de la vie, éternel recommencement de notre histoire.

Source : sante-vibratoire.com
Certains préfèrent attendre le meilleur, d’autres se suffisent de peu et se battent coûte que vaille sans garantie aucune de réussite et les autres,
Ceux que le commun des mortels appellent chanceux font fête de leur moitié et s’épanouissent à leur côté.
Et moi…moi, éternelle handicapée de l’amour…J’apprends, je continue à apprendre.
J’apprends de la vie…Éternel recommencement…
SAMBA SAPHIR