SATIRE D’UNE TRENTENAIRE…PIEDS DE NEZ AUX PREJUGES

La beauté de la femme qu’elle soit interne ou externe, atteint son paroxysme à un certain âge ; la plénitude, la constitution physique, l’écoute et la capacité à se dévouer aux autres, atteignent le summum.

Eh oui, vous avez dû le deviner, c’est à 25 ans que l’on attire tous les regards, que les propositions de mariages pleuvent ; c’est aussi à cet âge que la femme devrait choisir un époux parmi les « courtisans » et selon des critères précis, la richesse, la beauté, la constitution physique et la capacité à faire de beaux enfants. Passé cet âge, c’est le début d’une ère nouvelle : celle des catherinettes.

Ici, l’on tend à se défraichir et commence à enfiler des amants comme des perles. C’est ici que la jeune femme perd de son attrait et sacralise des chimères. L’on a encore le temps de rêver, de choisir qui pourra nous dompter ou mieux qui peut encore prétendre à nous aborder malgré notre deuxième place au classement des femmes valeureuses.

Eh oui, mesdames et messieurs, entre 25 et 30 ans, les jeunes femmes ou femme-enfants, perdent leur valeur commerciale, ne sont plus des produits viables. La meilleure étiquette que l’on puisse coller à des jeunes femmes de cette tranche d’âge, serait « Peut-être » ; le lancement enclenché depuis l’adolescence, la croissance atteinte, vient la maturité. Mesdames et demoiselles, estimez-vous heureuses, votre date de péremption n’a pas encore été atteinte, contrairement aux trentenaires.

Les trentenaires, ces produits défraichis, ces oranges ont été pressées, sucées, conquises, manipulées à souhait par des fins connaisseurs et ayant en prime ….des enfants.

Mon DIEU ! A trente ans, avoir non pas 1 mais 2, 3 ou 4 enfants et s’en occuper toute seule…DAMN !

Mesdames, vous êtes bonnes pour la potence, relégables au rang de déchets ou mieux de rebus, pour ceux qui n’ont pas compris, vous êtes la friperie en matière de compagnes, juste bonnes à b*****.Celles qui ont des enfants d’un seul père, divorcées ou n’ayant jamais été mariées, applaudissez, vous avez encore le droit d’être appelées, femmes dignes. Eh oui, vous n’avez pas tut encaissé dans ce bas monde, les spaghettis, les grumiers et autres ; le contenu du pot de yaourt n’est pas totalement avarié, contrairement à vos consœurs.

Ah oui, VOUS, trentenaires ayant des enfants de pères différents, vous devriez vous cacher et raser les murs, vous êtes la honte de notre société. C’est à cause de votre comportement indigne que la plupart des hommes ne respecte pas les femmes ; c’est à cause de vous, promptes à vous laisser posséder par tous les orifices pour une obole d’amour et d’attentions, que les trentenaires sont renvoyées au rang de renégat. Pourquoi ouvrir grand les yeux ? Même parmi les invendus d’une boutique, il y a des meilleurs, des moins bons et des déchets.

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Trêve de bavardage, revenons au sujet principal…

Les trentenaires sont des boulets, des femmes à éviter en raison de la liste d’amants aussi longue qu’un CV et de leur passé amoureux. Elles présentent l’inconvénient d’être exigeantes, vouloir garder la mainmise sur la relation, vouloir tout contrôler et dicter à leur compagnon, ce qu’il faut faire et ne pas faire, au lieu de se taire et s’estimer heureuse de ne pas être la compagne des quinquagénaires qui sont logiquement ceux à qui elles plaisent encore.

Concernant les exigences, elles sont parfois chimériques, à mourir de rire : avoir un background intéressant voire éloquent, diplômes élevés, un bon travail et des biens. Ces femmes ont l’habitude d’oublier que le pédigrée de ces hommes peut constituer un frein à la relation et c’est justement là qu’elles ont une carte à jouer : celle de la bonne femme. Elles peuvent encore tirer leur épingle du jeu et se taire, se fondre dans le moule proposé par leur compagnon, faire tout ce qui leur est demandé afin d’avoir le sésame : le mariage.

Se poser la question de savoir si l’harmonie d’un couple réside au nombre de diplômes, serait illusoire, au même titre que la confiance, l’honnêteté, l’intégrité et la complicité. Les trentenaires sont si exigeantes, seules et deviennent systématiquement aigries, lorsqu’elles ne trouvent pas chaussure à leur pied. Avez-vous déjà entendu des trentenaires discuter autour d’une table ? Je conseillerais aux sensibles de fermer les œillères et tirer le loquet de leur conscience, c’est un cataclysme. Entre leur rancune tenace envers les plus jeunes rejetant les « bons numéros », le regret d’avoir joué l’intéressante durant leur « jeunesse » et les mâles qui n’ont que faire de leur corps décharné et déformé par la maternité, c’est l’apocalypse.

Ce sont elles qui remplissent les églises réveillées, deviennent des brebis « suiveuses », des nouvelles nées voire des ingénues. Ancienne djomba( maitresses) ou maitresses actives pour la plupart, elles ont l’art de crier à qui veut l’entendre que le mariage n’est pas une fin en soi, qu’elles se suffisent à elles-mêmes et l’homme n’est que la cerise sur la gâteau. Ce sont elles qui , dès l’arrivée dans leur foyer, pour celles ayant eu la faveur d’être choisies par un homme, s’attèlent à isoler leur chéri de la belle-famille et supportent toutes les maîtresses en silence attendant le mariage. Généralement, elles sont promptes à fléchir les genoux, tendre les mains vers le Seigneur et indexer les maîtresses de leur mari. Eh oui, elles ont une mémoire sélective et savent pour une fois, faire preuve de bon sens. Au lieu d’emmerder leur homme avec le fait d’être cocufiées, elles vont droit vers l’objet de leur colère : les maîtresses.

Les trentenaires ayant une tête bien pleine, un bon travail et un compte en banque fourni, sont les plus énervantes : elles savent tout, donnent leur avis sur tout et ne savent pas rester à leur place ; les féministes de Mokolo. Il serait encore mieux d’avoir une trentenaire qui a un pois chiche dans la tête parce qu’elles sont dociles, hyper soumises et très malléables. Un homme qui rencontre un trentenaire avec/sans enfants qui n’a pas de travail et dépend de lui, peut s’estimer heureux, car les écluses du ciel lui sont ouvertes. Elle saura baisser la tête, tendre la main vers lui et tout supporter, en plus d’être le paillasson de la belle-mère/ belle-famille.

Mesdames, passé 30 ans, travaillant ou pas, ayant un solide compte en banque ou pas, vous devriez apprendre à revoir vos exigences à la baisse. Au lieu de tourner autour des trentenaires pour qui vous n’êtes que des « sexes sur pattes », tournez-vous vers des quinquagénaires pour qui vous êtes encore viables. Les trentenaires, sachez faire la différence entre l’essentiel et le superflu. Les hommes dans la trentaine, cherchent la beauté, des femmes ayant encore des seins débout, comptent les amants de leur future compagne et tiennent encore compte des ordres de leur mère, contrairement à vous qui recherchez pouvoir et capacité à tout contrôler. Vous avez en plus, l’art de trop réfléchir, de facilement lire le jeu des hommes de votre tranche d’âge alors que les femmes-enfants, ne voient que ce qu’ils veulent.

Commercialement, vous êtes des produits dont la date de péremption est atteinte et vraiment dépassée pour les 35-40 ans.

Mesdames, pensez-vous encore pouvoir magnifier un homme à votre âge ?

Pensez-vous pouvoir calfeutrer les incapacités, manquements voire inaptitude de votre homme à assurer sur le plan sexuel, financier et autres ? Non !

Vous êtes si exigeantes que fatigués de s’escrimer à vous satisfaire et donner le meilleur d’eux, ils préfèrent se tourner vers celles qui se suffisent du peu qui leur est présenté. Mesdames, vous êtes pour la plupart, prêtes à vous caser alors qu’eux, NON ! De plus, les hommes ont besoin de se sentir utiles alors qu’avec vous, c’est impossible. Vous voulez une voiture, il suffit de sortir sa carte bancaire. Vous voulez une maison, vous regardez du coté de votre compte épargne. Il menace de s’en aller, vous allez certes pleurer mais vous en sortirez.

Où est passé la soumission de la femme, selon les traditions et les religions ?

Certaines seront promptes à évoquer l’évolution des mœurs alors que ce n’est pas ce qui fait la femme. Seule la capacité de la femme à gérer son foyer, supporter les infidélités et infamies de son homme en plus de pérenniser le nom de son compagnon, sont essentiels. Vous avez tendance à oublier la culture noire, c’est une honte.

Pour finir, les trentenaires, pensez à revoir vos exigences à la baisse et n’oubliez pas l’horloge biologique, si vous voulez trouver un mari.🤔🤗

SAMBA Saphir 

2 réflexions sur “SATIRE D’UNE TRENTENAIRE…PIEDS DE NEZ AUX PREJUGES”

    1. Bonsoir Madame Kuwonu,
      Merci pour votre commentaire.
      Pour répondre à votre commentaire, je pense, humblement, que c’est à nous les femmes, d’Imposer notre vision de la femme à la société.
      Cordialement,

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